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The Priest
23 novembre 2006

Il y a des jours comme ça, où l'on a envie

Il y a des jours comme ça, où l'on a envie d'écrire, sans raison...

Ce soir, j'étais étendu sur une chaise à lire Les Particules Elémentaires De Michel Houellebecq quand j'ai commencé à me poser certaines questions. En fait pour être juste, ce ne sont pas des questions mais plus un bilan sur les 21 ans que j'ai pssé sur terre.

Je n'ai pasbeaucoups de souvenirs de ma prime enfance tout ce dont je me souviens, c'est que j'étais un élève brillant, pas surdoué, mais précoce. J'ai appris à lie très vite, et j'étais toujours dans les premiers de la classe durant les classes primaires, m'en sortant toujours avec les félicitations des instituteurs. Malgrès un physique peu attrayant, j'étais populaire ans ma petite école de quartier, je pensais que tout irait ainsi, je me suis salement trompé.

Arrivé au collège, ce fut la grande claque, j'ai découvert, à mon grand désarroi, la méchanceté dont font preuve la plus grande partie des élèves de 6e, et, une chose en etrainant une autre, ma non intégration dans ce maudit collège fut le facteur déclencheur de ma dégringolade scolaire, que je considérerait comme un échec pathétique. Je ne savais pas non plus, mais je l'appris bien vite, qu'une réputation nous suivait toute notre scolarité. Cela étant, je n'avais aucun ami durant toute ma scolarit collégiale. Le lycée fut un désastre tout aussi pitoyable, et je me suis décidé à y mettre un terme à ma 2e seconde.

Comme vous pouvez le constater, de 12 à 18 ans, ma vie ne fut pas ce que l'on pourrait appeler un cont de fées avec des petits lutins et des ânes qui volent. Ma vie sentimentale ne fut que le reflet de cete vie, avoir son premier baiser à 18 ans e sa première relation sexuelle à 20 n'est pas un gage de réussite affective et conjugal.

Maintenant, je suis en galère, sans emploi, le seul point positif étant que désormais j'ai quelqu'un pour m'épauler et me supporter, ce qui rend la tâche un peu moins ardue. Je l'en remercie d'ailleurs, car sans elle je n'aurais peut-être pas su tenir la distance.

Je pense que la vie est une putain qui aime nous poignarder dans le dos. Mais on doit vivre avec.

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